mardi 27 octobre 2009

L'anonymat atomique!

Nous vous présentons aujourd'hui la version de Bernard. Qu'elle histoire a-t-il concoctée avec ces 6 photos:
Pourquoi étaient-ils venus faire leurs saloperies dans sa cour? Bertin directeur français de Greenpeace était à la fenêtre de son condo lorsqu’il se posa cette question. L’agence atomique française était parfaitement au courant du lieu de résidence de Bertin. Alors, pourquoi venir le narguer sous sa fenêtre?
Il avait reconnu les camions transportant le combustible nucléaire. Les idiots de l’agence prennent des camions les plus anonymes possible, mais de voir arriver ces 2 camions sans aucune inscription, mais escorter par 4 véhicules de gendarmes, cela ne prend pas la tête à Papineau pour comprendre.
Discrètement à bord de sa voiture il s’est approché pour voir de plus près les camions et ainsi évaluer la quantité de déchets y étant gardée. Soit un des camions était un leurre ou c’était un des plus gros chargements que Bertin n’avait jamais vus.
Il faillit éclater de rire lorsqu’il vit les 2 coureurs anonymes. Ils avaient l’allure classique des fier-à-bras de l’agence atomique. Il avait eu tellement souvent maille à partir avec des sbires de leur genre qu’il pourrait les reconnaître parmi une foule de 10000 personnes. Mais devenait-il paranoïaque après toutes ces années de militantisme? Les coureurs étaient peut-être que cela des coureurs anonymes? Les camions anonymes n’étaient peut-être que cela!
C’était son jour de chance en voulant retourner dans son appartement, il passa devant la barrière sécurisant le site. Quelle ne fut pas sa surprise en voyant que la chaîne était sciée, la barrière grande ouverte, celle-ci ne sécurisait rien du tout!, il ne put résister à la tentation d’aller y jeter un coup d’œil de plus près.
Dès qu’il franchit la barrière, Bertin sut que les coureurs anonymes, n’étaient pas que cela. Du fond de sa cellule, il savait maintenant que les camions anonymes étaient réellement de vieilles connaissances. Malheureusement, il ne put passer un coup de fil pour prévenir ses amis de Greenpeace pour qu’ils viennent empêcher l’embarquement de ce combustible sur le bateau militaire arrivé sur les lieux dans l’avant-midi. Le seul téléphone du bloc cellulaire était en dérangement! Dans le poste de pilotage, le PDG de l’Agence Atomique française savourait sa victoire. Sa cargaison était à bord pour sa destination finale et son ennemi croupissait dans une cellule en attendant qu’un juge, que le Président de la République venait de nommer, se penche sur le dossier de Bertin pour savoir quelle sentence il méritait pour être entré par effraction sur un site militaire.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire