Les toits verts ou végétaux sont-ils si populaire ?
On a toujours pensé que les toits verts n’étaient possible que sur des toits plats.
On a toujours pensé que les toits verts n’étaient possible que sur des toits plats.
Étonnement…nous n’avons vu aucun toit plat avec de la végétation depuis notre arrivée en sol Européen. Seuls les toits inclinés portent fièrement leur verdure.
La construction de toit végétal était très utilisée par le passé et bien que des progrés considérables aient été faits dans les matériaux d'isolation et de construction, on trouve en Norvège des maisons modernes avec ce type de toit.
La construction de toit végétal était très utilisée par le passé et bien que des progrés considérables aient été faits dans les matériaux d'isolation et de construction, on trouve en Norvège des maisons modernes avec ce type de toit.
La façon traditionnelle de faire un toit végétal est la suivante: le toit est généralement composé d'environ 7 couches d'écorces de bouleaux puis deux couches de terre sur lesquelles on fait pousser des végétaux bien précis car on sait qu'ils permettent une bonne isolation. Un tel toit permet une très bonne isolation pendant environ 20 ans.
L’observation qui saute aux yeux lorsque l’on voit pour la première fois un toit vert c’est qu’en fait c’est loin d’être si vert que ça. D’après ce que nous avons vu en Norvège, ils semblent déposer la terre sur le toit sans nécessairement y semer quelque chose de spécifique…la nature faisant son œuvre…toutes graines viennent s’y loger et de ce fait on retrouve une multitude de plantes diverses qui poussent.
Le nouveau principe de la toiture végétale est de recouvrir de verdure un toit plat (avec au moins une pente de 2 %).
On couvre la toiture d’un matériau isolant, d’une membrane imperméable, d’un système de drainage (comprenant parfois un système d’irrigation), d’une membrane destinée à contenir le sol et les racines, d’une couche de terre (appelée substrat) et, finalement, de végétaux. Il en existe plusieurs types déterminés par l’épaisseur de terre et le genre de végétaux que l’on souhaite y faire pousser.Un toit végétal « extensif » est constitué d’une mince couche de terre suffisante pour planter des végétaux très résistant dont les racines sont superficielles. Il demande donc très peu d’entretien. Les toits de types « semi intensifs » et « intensifs » nécessitent un substrat de culture plus épais pour supporter une variété de plantes aux racines plus développées. Les toits intensifs peuvent accueillir des petits arbres et des arbustes, se transformer en jardin ou héberger une aire de repos.Les toitures vertes sont utilisées depuis des décennies en Europe. Au Québec, on a commencé à s’y intéresser davantage dans l’année 90. La première toiture végétale a été observée au début du XIII siècle en Norvège.
L’observation qui saute aux yeux lorsque l’on voit pour la première fois un toit vert c’est qu’en fait c’est loin d’être si vert que ça. D’après ce que nous avons vu en Norvège, ils semblent déposer la terre sur le toit sans nécessairement y semer quelque chose de spécifique…la nature faisant son œuvre…toutes graines viennent s’y loger et de ce fait on retrouve une multitude de plantes diverses qui poussent.
Le nouveau principe de la toiture végétale est de recouvrir de verdure un toit plat (avec au moins une pente de 2 %).
On couvre la toiture d’un matériau isolant, d’une membrane imperméable, d’un système de drainage (comprenant parfois un système d’irrigation), d’une membrane destinée à contenir le sol et les racines, d’une couche de terre (appelée substrat) et, finalement, de végétaux. Il en existe plusieurs types déterminés par l’épaisseur de terre et le genre de végétaux que l’on souhaite y faire pousser.Un toit végétal « extensif » est constitué d’une mince couche de terre suffisante pour planter des végétaux très résistant dont les racines sont superficielles. Il demande donc très peu d’entretien. Les toits de types « semi intensifs » et « intensifs » nécessitent un substrat de culture plus épais pour supporter une variété de plantes aux racines plus développées. Les toits intensifs peuvent accueillir des petits arbres et des arbustes, se transformer en jardin ou héberger une aire de repos.Les toitures vertes sont utilisées depuis des décennies en Europe. Au Québec, on a commencé à s’y intéresser davantage dans l’année 90. La première toiture végétale a été observée au début du XIII siècle en Norvège.
Rétention des eaux de pluie –
Amélioration du climat urbain–
Fixation des poussières et des polluants–
Confort acoustique–
Nombreux habitats fauniques–
Abaisse la quantité de dioxyde de carbone–
Réduit la pollution de l’eau–
Absorption et réfléchissement du rayonnement solaire.
L’installation d’un toit vert augmente la durée de vie du toit, car sous une végétalisation, l’étanchéité est protégée des rayons U.V, de la grêle, de la chaleur et du froid. Les tensions provoquées par des chocs thermiques sont diminuées; la durée de vie de l’étanchéité est ainsi considérablement augmentée. Le toit retient 75 % des eaux pluviales qu’il reçoit et en relâche progressivement 25 %, ce qui contribue à ralentir l’écoulement des eaux.
Selon une étude menée par le ministère de l’Environnement du Canada en 2002, la présence de toitures vertes sur seulement 6 % des toits des villes canadiennes ferait descendre d’environ 1,5 degré Celsius et économiser près de 5 à 6 % des coûts d’énergie à tous les immeubles climatisés des villes. Cette diminution permettrait aussi de réduire les émissions de gaz à effet de serre et les polluants atmosphériques relâchés par les climatiseurs.
En Allemagne, durant les dix dernières années, 10 % des toits ont été végétalisés. Un système de points accorde une réduction de taxe environnementale aux promoteurs immobiliers qui utilisent les toits végétaux.
À Berlin, par exemple, la ville prend à sa charge 60 % des dépenses liées aux toitures végétalisées et à l’installation de traitement de l’eau de pluie.Parmi les toitures végétalisées les plus connues, on note celles du Moutain Equipment Co-op de Toronto et des pavillons Lassonde de l’École polytechnique de Montréal.10 ans est le
nombre d’années de retard au Canada et aux États-unis en matière d’investissement dans la technologie des toits verts par rapport à l’Europe.Il en coûte environ 5 $/pi2 pour une toiture standard bituminée.Il en coûte de 15 à 18 $/pi2 pour un toit vert.Il en coûte de 30 $ à 40 $/pi2 si il faut solidifier la toiture pour recevoir le toit.
C'est sculpture moderne de pissenlit démontre bien qu'en Norvège cette fleur est appréciée à sa juste valeur...on en voit partout et les champs deviennent jaunes...c'est très beau.
Pour répondre à la question du début...nous avons évalué qu'à peine moins de 1% des maisons avait le toit vert...et peut-être qu'au milieu de l'été les toits sont-ils plus vert...peut-être bien. De mon point de vue personnel, je n'ai pas, en Europe, vu un toit vert qui me plaisait...je pense que finalement je vais attendre de voir le résultat chez Parise, avant de suivre cette tendance.
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